Si vous cherchez des moyens de vous convaincre de contribuer à Maison Plein Coeur pour sa campagne de financement, d’ici le 31 décembre, en voici qui sont vraiment percutants et pertinents.
Regardez et écoutez deux de nos porte-paroles de la campagne 2020, Julie Curly et Didier Leroy. Ils ont des choses vraiment intéressantes à vous raconter. Deux témoins de première ligne de l’ostracisation, de la discrimination et du rejet que peuvent vivre des personnes vivant ou soupçonnées de vivre avec le VIH.
Julie Curly, auteure-compositrice-interprète, journaliste et activiste lesbienne
« À ma naissance prématurée en décembre 1980, j’ai dû subir des transfusions sanguines. Quelque 13 ans plus tard, j’ai été confrontée au scandale du sang contaminé responsable du décès de nombreux hémophiles et autres transfusés, par le VIH ou l’hépatite C. Même si mes tests se sont avérés négatifs, j’ai eu à subir les préjugés et même le rejet de certaines de mes amies hantées par la peur d’avoir pu être infectées », raconte Julie Vaillancourt, auteure-compositrice et interprète sous le nom de Julie Curly. « Aujourd’hui, je souhaite faire ma part en ajoutant ma voix pour soutenir l’action et les programmes de Maison Plein Cœur auprès des diverses communautés », assure-t-elle.
Didier Leroy, activiste gai et intervenant à Maison Plein Coeur
Il vit avec le VIH depuis 1989. Il a été des premiers combats pour faire bouger les gouvernements inactifs et les pharmaceutiques. À l’époque, il n’y avait pas de traitement efficace contre le VIH. Les gens en mouraient. Didier a milité pour Act-UP Paris. Ce mouvement a d’ailleurs inspiré le film 120 battements à la minute.
D’autres témoignages éloquents
Si le coeur vous en dit, regardez et écoutez aussi ces autres témoignages de personnes vivant avec le VIH qui vous disent pourquoi “Plus que jamais, une chance que je t’ai Maison Plein Coeur”!